Ce communiqué a été publié le 05/01/2021
À la demande du ministre de l’Éducation nationale, de la jeunesse et des sports, le Conseil supérieur des programmes (CSP) a publié récemment la « Note d’analyse et de propositions sur le programme d’enseignement de l’école maternelle ». L’enseignement en école maternelle s’y trouvait réduit à la préparation des élèves aux évaluations de CP, avec notamment la mise en place d’évaluations dès la Petite Section.
Les vives critiques suscitées par cette note ont contraint la présidente du CSP à indiquer dans la presse que cette note n’a pour l’heure pas ouvert la voie à une réforme des programmes de maternelles. Cette note est toutefois particulièrement inquiétante.
Les membres du CSP sont nommés par le ministre Blanquer, et l’institution ne présente aucune garantie d’indépendance. Il ne s’agit pour le ministre que de donner un vernis scientifique à ses conceptions libérales et rétrogrades en matière de pédagogie.
Cette note du CSP est un pas de plus vers des apprentissages ciblant de supposés fondamentaux à travers des évaluations comme base d’un système éducatif. Il s’agit de s’inscrire à toute force dans le cadre des comparaisons internationales au détriment de l’identité de l’école maternelle défendue par l’ensemble de la communauté éducative.
Pour SUD éducation, cette note du CSP marque l’intention du ministère de réduire la réussite des élèves aux évaluations standardisées de CP.
SUD éducation s’oppose tout particulièrement aux modalités d’évaluations décrites dans la note : il faut des évaluations formatives plutôt que sommatives, une évaluation dans un cadre pédagogique ne donnant pas lieu à un quelconque « fichage » de l’élève, un temps de réflexion collective pour traiter de l’évaluation dans nos obligations de service.
Ce communiqué a été publié le 22/12/2020
Lundi 21 décembre, le Conseil Constitutionnel a validé la Loi de Programmation de le Recherche (LPR), tant contestée et décriée par l'ensemble de la communauté universitaire. Depuis un an maintenant, le gouvernement s'est acharné à faire passer en force cette loi, dans une année marquée par [...]
Le Conseil Constitutionnel aura toutefois censuré 2 dispositions, dont l'amendement introduit par la droite au Sénat qui prévoyait un délit d'entrave dans les universités passible d’un an d’emprisonnement et de 7500 € d’amende (3 ans d’emprisonnement et 45000€ d’amende si c’était en réunion). Cette mesure liberticide qui visait à criminaliser les mouvements étudiants et de personnels sur les campus, vieille revendication de la droite, a été considérée comme un « cavalier législatif », sans lien avec le texte initial. On peut se satisfaire de ce rejet à l'heure actuelle, mais le Conseil Constitutionnel n'a pas émis d'avis inconstitutionnel sur cet amendement, qui pourra donc redevenir d'actualité dans d'autres projets de lois : prudence donc. [...]
Dès la rentrée, discutons, tenons des AG, remobilisons les collègues et les étudiant-e-s qui peuvent insuffler un second souffle nécessaire. Nous serons d'ores et déjà dans la rue le 26 janvier avec les collègues de l'Éducation nationale.
communiqué publié le 16 décembre 2020
SUD éducation a adressé le 15 décembre un courrier au Ministre de l'éducation nationale Jean Michel Blanquer concernant les disparités importantes d'application de la circulaire n°2019-090 du 5 juin 2019 relative au cadre de gestion des AESH d’une académie à l’autre, voir entre deux départements d’une même académie.
Cette circulaire pose un cadre national sans pour autant sortir les accompagnant·e·s des élèves en situation de handicap de la précarité structurelle dans laquelle le ministère les place. Cependant, certaines académies et DSDEN semblent penser que ce cadre ne s’impose pas à elles. Ainsi, subsistent de profondes inégalités entre les...[lire la suite avec le lien]
communiqué publié le 17 décembre 2020
Le ministère a indiqué son projet de répartition des postes entre académies le 16 décembre. Dans le premier degré, le projet prévoit quelques maigres créations de postes dans un certain nombre d’académies.
Toutefois, ces créations sont manifestement insuffisantes pour compenser les dédoublements et baisser les effectifs, et indiquent que le ministère se refuse à augmenter significativement la quotité de décharge pour les directions d’écoles.
Dans le second degré, le ministère prépare directement la suppression de 1800 suppressions de postes. Annonce vouloir compenser ces suppressions de postes par 1847 équivalents temps-plein en heures supplémentaires. Ce tour de passe-passe n’a pour vocation que de réaliser des économies, car les heures supplémentaires permettent au ministère de verser des cotisations bien inférieures. Depuis la rentrée 2018, le ministre aura donc supprimé plus de 5 000 postes dans le second degré, alors que sur la même période plus de 100 000 élèves entraient dans le second degré.
Pour les personnels, ces suppressions de poste vont se traduire par une nouvelle dégradation des conditions de travail. Le ministre cherche à imposer ainsi une augmentation généralisée de leur temps de service. Cela signifie aussi qu’il y aura immanquablement moins d’adultes dans les établissements. Cette baisse du taux d’encadrement conduira à une hausse des effectifs par classe, avec toutes les conséquences négatives qu’elles entraînent pour les élèves. Cela signifie aussi moins d’adulte pour réguler les tensions qui surviennent dans les établissements.
Alors que la situation sanitaire justifie des recrutements massifs, le ministre Blanquer choisit d’accroître encore la pression qui pèse sur les enseignant-e-s. SUD éducation appelle d’ores et déjà les personnels à se réunir en Assemblée générale et en heure d’informations syndicales pour s’opposer à ces suppressions de postes massives.
Communiqué de presse Paris, le 15 décembre 2020
École optionnelle avant les vacances : SUD éducation dénonce la désinvolture du gouvernement !
Aujourd’hui, le Premier ministre annonçait par voie de presse, que les parents sont invité-e-s à garder
au domicile familial les élèves en prévision des fêtes de fin d’année.
Le ministre Blanquer est une nouvelle fois contredit. Il prétendait jusqu’ici, contre l’évidence, que
l’école était le lieu le plus sûr pour éviter les contaminations, alors que les statistiques ministérielles
sont démenties par celles de Santé publique France. Le Premier ministre souhaite que les enfants se
confinent dès le jeudi afin de respecter une période d’incubation de 6 jours. Au lieu d’avoir pris les
mesures nécessaires pour que les élèves puissent continuer à se rendre sur leur lieu d’étude
jusqu’aux congés, par exemple par le recrutement de personnels titulaires pour aider à la désinfection
des locaux et la fourniture de masques à tou-te-s les élèves, le gouvernement préfère, en dehors de
tout cadre légal amoindrir le caractère obligatoire de la scolarisation.
Cette situation risque d’accroître les inégalités sociales entre élèves et entre les familles. Pour profiter
de cette mesure, il faudrait que l’un-e des deux parents demeure au foyer puisqu’il s’agit de procéder
à un confinement anticipant les fêtes. Ce serait alors prioritairement sur les femmes que pèserait ce
fardeau. De même, les élèves de classes populaires, qui ont le plus besoin dans la période que nous
traversons de continuer les apprentissages, se verraient privé-e-s de deux jours de classe juste avant
les congés.
Les personnels quant à eux ont appris la nouvelle par la presse. Certaines académies n’ont toujours
pas pris la peine d’indiquer aux enseignant-e-s que cette nouvelle règle est en vigueur. Alors que dans
un contexte difficile, ils et elles cherchent à exploiter au mieux le temps d’étude des élèves, ils et elles
risquent de voir leurs efforts ba layés par un absentéisme validé par le gouvernement.
SUD éducation, une nouvelle fois, dénonce la désinvolture et l’amateurisme qui président aux
décisions prises par le gouvernement et le ministère en matière de gestion de la crise sanitaire dans l
’Éducation nationale.
Le 20 novembre, trois enseignant-e-s du lycée François Mauriac de Bordeaux, syndiqué-e-s à SUD éducation, recevaient un courrier leur indiquant que la rectrice engageait contre elles et eux une procédure disciplinaire.
La rectrice reproche aux collègues de s’être mobilisé-e-s pour faire barrage à la mise en œuvre de la réforme du bac Blanquer. Après Cahors, Carcassonne, Clermont-Ferrand, Strasbourg, et bien sûr Melle, l’administration cherche à réprimer celles et ceux qui, engagé-e-s dans l’action syndicale, s’opposent à la politique ministérielle.
Aujourd’hui, nos camarades ont reçu un courrier leur indiquant la sanction décidée par la rectrice : suspension de trois jours sans traitement pour l’une, blâme pour les deux autres. La rectrice de Bordeaux a renoncé à réunir des conseils de discipline : les dossiers sont vides, et il s’agit de sanctionner des faits de grève.
Ces sanctions, si faibles soient-elles au regard de l’ambition initiale de la rectrice, sont néanmoins inacceptables.
SUD éducation exige le retrait immédiat des sanctions de nos camarades du lycée François Mauriac de Bordeaux.
SUD éducation exige l’abandon immédiat de toutes les poursuites contre les personnels mobilisés contre les politiques rétrogrades du ministère et du gouvernement. On ne touche pas à nos camarades !
Toutes les informations sur le site de la fédération SUD éducation
Panneau syndical : décembre 2020
- Face à la mascarade du "Grenelle": imposons par la grève les augmentations de salaire pour toutes et tous
- Après les 4 de Melle, les 3 de Bordeaux : on ne touche pas à nos camarades !
- Moins de postes au concours de l’enseignement sauf pour le privé
- Adhésion en ligne : sur le site de SUD éducation :
Mobilisons-nous pour nos salaires, pour nos conditions de travail, pour les postes : exigeons la revalorisation et un autre budget pour l’Education !
Tout nous conduit à l’exigence de plus d’éducation pour tous les jeunes dans un contexte où les inégalités continuent à se creuser et où les réformes menées par le ministre les aggravent. Or, le Parlement a adopté un budget qui est loin de traduire l’ambition éducative dont notre pays a besoin. En effet, il ne prend pas la mesure de l’augmentation des effectifs, de la situation sanitaire qui impose particulièrement des mesures pour faire baisser les effectifs d’élèves par classe à court et moyen terme et de l’état de fatigue des personnels, épuisés par des années de dégradation des conditions de travail.
Il faut en urgence engager les
communiqué publié le 30 novembre 2020
Pour la première fois dans l’histoire de l’école, le ministère de l'Éducation nationale édite son propre manuel de lecture portant ainsi atteinte à la liberté pédagogique.
La liberté pédagogique, inscrite dans les textes officiels, structure le système scolaire. Elle est le signe de la confiance accordée au professionnalisme des enseignant-e-s.
Le ministère a décidé d’imposer son propre manuel de manière expérimentale dans 10 départements. Blanquer dépossède les enseignant-e-s de leur expertise en les réduisant à des agent-e-s d’exécution tous et toutes aligné-e-s sur ce manuel officiel.
La méthode de lecture, sans protocole de recherche, a été élaborée par une inspectrice et 3 conseillères pédagogiques, sans aucune prise en compte des avis du conseil scientifique mis en place par le ministre lui-même. Elle s’inscrit dans la méthode syllabique stricte que Blanquer a adoptée comme doctrine en l’opposant à la méthode mixte.
Le ministre essaie ainsi de fouler au pied la liberté pédagogique des enseignant-e-s.
SUD éducation rappelle que ce manuel de lecture officielle n’est qu’une recommandation qui par définition ne constitue pas des instructions .
SUD éducation appelle en conséquence les personnels à continuer à exercer le plein usage de leur liberté pédagogique.
SUD éducation continuera de s’opposer frontalement aux tentatives de mises au pas des personnels, et revendique la suppression de l’expérimentation de la méthode de lecture.
Depuis le début de la crise sanitaire nous, les assistant-es d’éducation (AED, AP et APS) sont en première ligne dans les écoles et établissements.
Leurs conditions de travail se sont considérablement dégradées avec la multiplication des tâches induites par la mise en place des protocoles sanitaires et l’exposition particulière aux risques de contamination. Pas de limitation du brassage pour celles et ceux qui doivent gérer l’urgence et jongler avec le manque d’effectif.
Ces personnels, pourtant déterminants pour le bon fonctionnement des établissements, ne reçoivent pas la reconnaissance à laquelle elles-ils ont droit et ne sont associé-es que très marginalement aux prises de décisions.
Ce manque de reconnaissance n’est pas nouveau, il est d’ailleurs inhérent à
https://www.sudeducation.org/greve-des-aed-le-1er-decembre-dossier-complet/
communiqué intersyndical publié le samedi 28 novembre 2020
https://www.sudeducation.org/communiques/avenir-lyceen-le-ministre-blanquer-doit-sexpliquer/
Communiqué de presse Paris, le 28 novembre 2020
3 de Bordeaux : l’acharnement anti-syndical se confirme, la solidarité s’organise
Vendredi 20 novembre, Zoé, Jean et Véronique, enseignant-e-s du lycée François Mauriac à Bordeaux et syndiqué-e-s à SUD éducation, ont reçu un courrier les invitant à consulter leur dossier dans le but d’engager des procédures disciplinaires. Ce qui leur était reproché ? S’être mobilisé-e-s, comme tant d’autres collègues partout sur le territoire, contre la mise en place des E3C.
Mercredi 25 et vendredi 27 novembre, ils et elles ont consulter leurs dossiers. Ces dossiers, très minces, confirment ce que l’on savait : l’administration reproche aux collègues d’avoir participé à une action de grève appelée par les organisations syndicales. Il s’agit purement et simplement de répression anti-syndicale et d’une atteinte au droit de grève, qui est un droit constitutionnel.
Ces dernières années, les [ lire la suite cliquer sur le lien ]
Contact SUD éducation Aquitaine
SUD éducation Aquitaine
Adresse : 26, rue Paul Mamert RDC B7 33800 BordeauxTéléphone fixe : 05 57 87 55 47 / Fax : 05 57 87 55 47
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Depuis le début de la crise sanitaire, les équipes de vie scolaire sont en première ligne : manque de protection face à la circulation du virus, déstabilisation de leurs missions face à la mise en place des protocoles sanitaires dans les établissements, changements de lieu de travail incessants et abusifs pour faire face au manque de moyens de remplacement dans les vies
scolaires.
Cette crise est un révélateur de la situation de précarité inacceptable des AED : raccourcissement de la durée des contrats, exclusion des perspectives de revalorisation, absence de perspectives concernant le versement de la prime REP et REP+.
Pour toutes ces raisons, les AED...
Lire la suite : Soutien aux mobilisations des AED communiqué intersyndical 23 novembre 2020
Communiqué de presse
Les organisations syndicales et associations de l’enseignement supérieur et la recherche (ESR) dénoncent l’interdiction de la manifestation prévue à Paris le mardi 24 novembre contre la loi de programmation de la recherche. Elles appellent, dans le respect des règles sanitaires demandées, à participer massivement au rassemblement autorisé place Jussieu à 14h «pour que la Loi de programmation de la recherche reste lettre morte».
La direction de l’ordre public et de la circulation de la préfecture de police de Paris a interdit la manifestation organisée par les syndicats et associations de l’ESR le 24 novembre, qui devait prendre la forme d'un défilé reliant la place Jussieu à la rue de Varennes. Elle a accordée uniquement une autorisation pour un rassemblement place Jussieu à14h
Rien de nouveau côté ministériel : attaquer SUD éducation et ouvrir des contre-feux.
Blanquer est si prévisible. Depuis le 18 octobre dernier, où Darmanin s'en est pris nommément à la fédération et à un de ses co-secrétaires fédéraux, le travail continue du côté du ministère.
SUD éducation 79 apporte tout son soutien aux 3 camarades de SUD éducation Aquitaine et à SUD éducation Aquitaine !
communiqué de SUD éducation fédéral :
Après les 4 de Melle, les 3 de Bordeaux :on ne touche pas à nos camarades !
Ce vendredi 20 novembre, trois enseignant-e-s du lycée François Mauriac de Bordeaux, syndiqué-e-s à SUD éducation, ont reçu une lettre de la rectrice indiquant qu’elle engageait contre elles et eux une procédure disciplinaire.
Quatre collègues de ce lycée, 9 en tout en Gironde, avaient reçu au mois
de mars un courrier de menace de la rectrice. 9 mois après leur mobilisation contre la réforme Blanquer du Bac, 7 mois après ce premier écrit, les menaces sont donc mises à exécution.
Ce qui est reproché à nos collègues ? S’être mobilisé-e-s pour
Les personnels de l’Éducation étaient massivement en grève aujourd’hui : les remontées de terrain de SUD éducation montrent que la grève a été puissante aujourd’hui, malgré- (...)
Au-delà, la mobilisation doit permettre d’imposer un plan d’urgence pour l’éducation dans les premier et second degrés, incluant des recrutements massifs (à commencer par les listes complémentaires et la titularisation des contractuel-le-s) permettant de garantir l’enseignement en demi-groupes en classe, et une réfection comme la construction de nouveaux établissements et écoles à même de permettre de continuer à enseigner en offrant les garanties sanitaires nécessaires.
SUD éducation appelle les personnels à s’engager dans la poursuite de cette mobilisation par l’organisation d’Assemblées générales, par la multiplication de motions en conseils d’administration et conseils d’école, de courriers aux directions académiques...
Des actions locales sont d’ores et déjà prévues, dès la fin de la semaine et le début de semaine prochaine, dont le jeudi 12 et mardi 17 novembre. SUD éducation appelle les personnels à participer massivement à l’ensemble des actions décidées localement, et a déposé un préavis à cet effet.
https://www.sudeducation.org/communiques/10-novembre-un-succes-qui-en-appelle-dautres/
Lire la suite : 10 novembre : un succès qui en appelle d’autres !
Au-delà de cette échéance, nous continuerons en effet à exiger des moyens et des postes de titulaires à la hauteur des besoins de l’ESR dans le cadre de la quatrième loi de finances rectificative de 2020, du plan de relance et du projet de loi de finances pour 2021. Nous nous adresserons également aux parlementaires pour leur demander de saisir le Conseil constitutionnel sur les points de la LPR qui seraient contraires à la Constitution.
Signataires : SNTRS-CGT, CGT FERC SUP, CGT-INRAE, SNESUP-FSU, SNEP-FSU, SNASUB-FSU, SNCS-FSU, SNETAP-FSU, FO-ESR, SUD EDUCATION, SUD RECHERCHE EPST, SOLIDAIRES ETUDIANT-E-S, UNEF, L’ALTERNATIVE, FACS ET LABOS EN LUTTE, CJC
Ce communiqué a été publié le 05/11/2020
communiqué publié le 05/11/2020
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